Œuvres complètes... / Georges Bataille., 8, L' Histoire de l'érotisme, Œuvres complètes (Tome 8)
EAN13
9782070278831
ISBN
978-2-07-027883-1
Éditeur
Gallimard
Date de publication
Collection
Blanche
Séries
Œuvres complètes... / Georges Bataille. (8)
Nombre de pages
688
Dimensions
22,5 x 14 x 4,2 cm
Poids
768 g
Langue
français
Code dewey
843
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8, L' Histoire de l'érotisme - Œuvres complètes (Tome 8)

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«"Je me sens très seul à chercher, dans l'expérience du passé, non les principes mis en avant, mais les lois ignorées qui menèrent le monde et dont la méconnaissance nous laisse engagés sur les voies de notre malheur." (L'Histoire de l'érotisme.) "Si la vision du monde actuel donnée dans la pensée liée au primat de la subjectivité consciente se répandait, le monde des choses échapperait au gouvernement déraisonnable d'une pensée objective incessamment faussée par le jeu d'une subjectivité inconsciente." (La Souveraineté.) Voici donc ce projet d'une suite à La Part maudite, avec L'Histoire de l'érotisme (1950-1951), première version abandonnée de L'Érotisme, et La Souveraineté (1953-1954), dont ne parurent que quelques chapitres donnés à des revues. S'y ajoutent, prolongeant encore le tome précédent de ces Œuvres complètes, des souvenirs sur le surréalisme (1951 - portraits de Leiris, Breton, Aragon, Artaud) et des conférences (1951-1953) sur Le non-savoir, Le sacré au XXᵉ siècle, L'angoisse du temps présent... Les Annexes donnent le texte
de quelques articles utilisés dans la rédaction de La Souveraineté. Signalons enfin, dans les Notes, quantité de plans et d'ébauches : pour un livre sur l'érotisme (La Phénoménologie érotique, Sade et l'essence de l'érotisme, De l'angoisse sexuelle au malheur d'Hiroshima) ; pour Le Système inachevé du non-savoir (L'Athéologie) ; pour un livre sur Albert Camus (A .C., la Morale et la Politique, La Sainteté du Mal...) ; finalement, pour une première rédaction de La Souveraineté, sous le titre éloquent de Nietzsche et le communisme. Tous ces textes (où paraissent dans une lumière éblouissante les figures de la prostituée, de Sade, Nietzsche ou Staline...) se composent en un mouvement de connaissance violente, à la mesure de "ce moment souverain où l'impatience et la connaissance se confondent", "moment de grandeur inconditionnelle où le silence se fait, où la tête qui ne tourne pas est plus forte que la douleur, où la pensée a la pureté du vice".» Thadée Klossowski.
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