- EAN13
- 9782846123280
- Éditeur
- Editions 1
- Date de publication
- 19/05/2004
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Editions 1 24,20
1688 : naïve, pure et pieuse, Violante de Bavière arrive à Florence à l’âge de
seize ans pour épouser Ferdinand de Médicis, le mari qu’on lui a choisi.
Malgré l'amour que lui porte sa femme, Ferdinand retourne à sa vie de débauche
le mariage à peine célébré.
Violante se rapproche alors de son beau-frère Jean-Gaston, un jeune homme
doux et introverti auquel elle peut se confier. Leur attirance est réciproque,
mais ambiguë. Marié sur ordre à une fruste princesse allemande, le jeune homme
part pour la Bohème. Il revient à Florence quelques années plus tard, sans
avoir vaincu ses démons, tandis que son frère, rongé par le mal français, se
réfugie auprès de Violante.
Le grand-duc Cosme III, austère et dévot, désespère de voir un jour la
descendance de ses fils assurée.
Également mal aimés, Violante et Jean-Gaston forment un étrange couple.
Grâce à eux, Florence, débarrassée des prêtres qui la tyrannisaient,
retrouvera un peu de sa splendeur passée. Mais à leur mort, il en sera fini à
tout jamais des Médicis. La décadence et l’extinction de la plus célèbre
dynastie italienne.
seize ans pour épouser Ferdinand de Médicis, le mari qu’on lui a choisi.
Malgré l'amour que lui porte sa femme, Ferdinand retourne à sa vie de débauche
le mariage à peine célébré.
Violante se rapproche alors de son beau-frère Jean-Gaston, un jeune homme
doux et introverti auquel elle peut se confier. Leur attirance est réciproque,
mais ambiguë. Marié sur ordre à une fruste princesse allemande, le jeune homme
part pour la Bohème. Il revient à Florence quelques années plus tard, sans
avoir vaincu ses démons, tandis que son frère, rongé par le mal français, se
réfugie auprès de Violante.
Le grand-duc Cosme III, austère et dévot, désespère de voir un jour la
descendance de ses fils assurée.
Également mal aimés, Violante et Jean-Gaston forment un étrange couple.
Grâce à eux, Florence, débarrassée des prêtres qui la tyrannisaient,
retrouvera un peu de sa splendeur passée. Mais à leur mort, il en sera fini à
tout jamais des Médicis. La décadence et l’extinction de la plus célèbre
dynastie italienne.
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