- EAN13
- 9782080449955
- Éditeur
- Flammarion
- Date de publication
- 05/2024
- Collection
- Histoire
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Oradour s'est tu. Le destin tragique d'un village français - 10 juin 1944
Robert Pike
Flammarion
Histoire
Autre version disponible
-
Papier - Flammarion 22,90
Le 10 juin 1944, Oradour-sur-Glane, près de Limoges, est anéanti par une
division SS : 643 villageois perdent la vie, les femmes et les enfants
asphyxiés puis brûlés dans l’église pendant que les hommes sont assassinés
dans des granges. Redonnant voix aux morts, à travers les témoignages
poignants des survivants, l’historien Robert Pike s’est plongé dans les
archives pour raconter leur vie avant et après la tragédie. Un travail inédit
et précis où l’on croise de grandes familles solidaires, une vie villageoise
animée avec ses cafés, ses épiceries, sa fanfare, son école, à peine
bouleversée par l’arrivée de réfugiés espagnols et juifs ; un havre de repos
pour touristes en goguette chaque fin de semaine. L’historien reconstitue
minute par minute l’horrible tuerie orchestrée avec méthode et qui ne laisse
aucun doute sur sa préméditation. Après coup, passé la sidération, on
cherchera à trouver les coupables, à comprendre cette violence perpétrée
froidement par des soldats appliqués. L’historien, avec empathie, ne pourra
que constater la perpétuité du châtiment pour toutes les familles des
victimes.
division SS : 643 villageois perdent la vie, les femmes et les enfants
asphyxiés puis brûlés dans l’église pendant que les hommes sont assassinés
dans des granges. Redonnant voix aux morts, à travers les témoignages
poignants des survivants, l’historien Robert Pike s’est plongé dans les
archives pour raconter leur vie avant et après la tragédie. Un travail inédit
et précis où l’on croise de grandes familles solidaires, une vie villageoise
animée avec ses cafés, ses épiceries, sa fanfare, son école, à peine
bouleversée par l’arrivée de réfugiés espagnols et juifs ; un havre de repos
pour touristes en goguette chaque fin de semaine. L’historien reconstitue
minute par minute l’horrible tuerie orchestrée avec méthode et qui ne laisse
aucun doute sur sa préméditation. Après coup, passé la sidération, on
cherchera à trouver les coupables, à comprendre cette violence perpétrée
froidement par des soldats appliqués. L’historien, avec empathie, ne pourra
que constater la perpétuité du châtiment pour toutes les familles des
victimes.
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