Le Roman de Jim,
c’est la voix d’un homme,
c’est les choses de la vie : la rencontre amoureuse, les forêts du Jura, les conneries de jeunesse, la naissance, la paternité interrogée, les saisons, les souvenirs, la photo, la nature, la ville, la nostalgie, les sales coups du sort, les sentiments,
c’est l’amour d’un homme pour un enfant qu’il a vu naître, qu’il a élevé mais n’a pas conçu.
Et cet amour est si grand, si beau, si fort qu’il émeut aux larmes.
Cet homme aime tellement cet enfant qu’il a écrit un roman qui porte son nom.
Et moi, j’ai tellement aimé ce livre de Pierric Bailly, que je souhaite que vous l’aimiez aussi.♥️ Anne-Céline

Au début des années 1920, on veut tourner la page de la Grande Guerre et plonger dans un monde nouveau. C’est l’époque de l’automobile, de la radio, du jazz, du music-hall, d’une nouvelle place pour les femmes aussi. Une fureur de vivre qu’on a surnommée les Années folles, et qui s’incarne à travers l’Art déco. Partout, on adopte ce style épuré aux formes géométriques. Architecture, design, sculpture, peinture, mobilier, joaillerie, typographie… C’est un art total, qui en quelques années devient le premier à conquérir la planète. De Paris à New York, de Londres à Mumbai, de Sydney à Rio de Janeiro, découvrez un monde complètement Art déco  !

Coucou les fans de couscous!😋On salive devant les recettes de @nordinelabiadh rassemblées dans un bel ouvrage: Couscous pour tous! Du bouillon, en passant par la préparation de la semoule parfaite... on découvre des recettes de ce plat, adoré de tous, originales et gourmandes: canard/grenade fraîche, paupiettes/petits pois, au poisson🐙🐟, végétarien🍅🥕🫑🧅🌶... et même un couscous bourguignon (si, si!)! On adore!🍽♥️

Tout commence par l'achat par Diane vieillissante d'un tombeau dont la couleur rouge défie le noir et le gris d'usage mais ressemble au rouge-gorge et invite à porter des robes de feu.
Mais ce tombeau rime avec concession pour deux comme l'a bien précisé l'employé des pompes funèbres ce que Diane a jugé superflu se sachant seule, ce que Diane a jugé inaudible se sachant terrifiée par la solitude.
Diane va chercher parmi ses anciens amours, encore en vie ou pas, qui pourrait bien pouvoir, bien vouloir, partager son ultime lit ...
Elle est soutenue et un peu moquée par son amie Hélène une autre vieille dame défiant elle aussi les usages sur la Riviera mais en s'achetant de la vraie vie et de la fête aujourd'hui et tout de suite .
Diane et Hélène se font écho.
Le deuil, la vieillesse, la solitude, la mort les concernent pareillement.
Et ce livre brillantissime va bien au-delà .
Leurs deux façons d'être, dans l'ombre ou dans la lumière, font écho à nos façons d'être.
Leurs fuites dans l'imaginaire ou dans la réalité sont aussi les nôtres.
Le roman nous renvoie au conflit très humain entre nos aspirations contradictoires, tel notre effroi du lit vide et notre désir parfois d'en être seul possesseur et de nous y étaler.
Un livre impertinent, jamais monochrome servi par la grande poétesse Vénus Khoury-Ghata.
Un bonheur.

Ce jour est celui où Livio fait un exposé au lycée et nous convie à un étrange cours d'histoire, une histoire non dénuée de lien avec le présent. Livio nous fait découvrir Magnus Hirschfeld un médecin avant-gardiste mu par le désir d'égalité hommes-femmes, le libre contrôle de la procréation et l'abolition de la pénalisation de l'homosexualité. Dans cet exposé Livio va s'exposer lui-même. Le livre mêle l'intime,le social et l'histoire. La figure du pionnier du combat pour les droits des homosexuels confronté au nazisme et aux premiers autodafés permet à Livio de faire son coming out, ce qui le condamnera à l'incompréhension portée par une intolérance hélas intacte. Un livre passionnant, très vivant et un très beau plaidoyer pour la liberté.