- EAN13
- 9782253238065
- ISBN
- 978-2-253-23806-5
- Éditeur
- Le Livre de poche
- Date de publication
- 12/06/2019
- Collection
- Littérature & Documents (LP 035416)
- Nombre de pages
- 528
- Dimensions
- 17,8 x 11 x 2,2 cm
- Poids
- 280 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Dix ans après la guerre, Gabrielle Valoria, la fille d’un collaborateur exécuté à la Libération, doit enquêter secrètement sur Sidonie Porel : qui est-elle vraiment ? La plus célèbre romancière de son époque ou une imposture littéraire ? Une grande amoureuse ou une manipulatrice ?
En plongeant dans le passé de cette femme, Gabrielle découvre un univers où grouillent les menteurs et les traîtres. Écrivains, politiciens, journalistes, prostituées, grands patrons : tous cachent un secret qui tue…
Dans Les Fidélités successives (prix Cazes-Lipp), Nicolas d’Estienne d’Orves explorait les ambiguïtés de l’Occupation, avec La Gloire des maudits, il s’attaque aux mensonges de l’après-guerre. Ce tableau romanesque d’une France au lendemain du chaos, où l’on croise les grandes figures du Paris intellectuel et artistique des années 1950, montre que le passé nous rattrape toujours et que les guerres ne se terminent jamais.
Une belle reconstitution. Une intrigue parfaitement rodée. Le Figaro.
Nicolas d’Estienne d’Orves a l’écriture joyeuse et le récit facétieux. Les Échos.
On lit ce roman avec délectation parce qu’il sonne vrai. Elle.
En plongeant dans le passé de cette femme, Gabrielle découvre un univers où grouillent les menteurs et les traîtres. Écrivains, politiciens, journalistes, prostituées, grands patrons : tous cachent un secret qui tue…
Dans Les Fidélités successives (prix Cazes-Lipp), Nicolas d’Estienne d’Orves explorait les ambiguïtés de l’Occupation, avec La Gloire des maudits, il s’attaque aux mensonges de l’après-guerre. Ce tableau romanesque d’une France au lendemain du chaos, où l’on croise les grandes figures du Paris intellectuel et artistique des années 1950, montre que le passé nous rattrape toujours et que les guerres ne se terminent jamais.
Une belle reconstitution. Une intrigue parfaitement rodée. Le Figaro.
Nicolas d’Estienne d’Orves a l’écriture joyeuse et le récit facétieux. Les Échos.
On lit ce roman avec délectation parce qu’il sonne vrai. Elle.
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