- EAN13
- 9782711622665
- ISBN
- 978-2-7116-2266-5
- Éditeur
- Vrin
- Date de publication
- 02/05/2010
- Collection
- Sic et Non
- Nombre de pages
- 316
- Dimensions
- 21,5 x 13,5 x 2 cm
- Poids
- 405 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- latin
- Code dewey
- 189.2
- Fiches UNIMARC
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Rédigée à Rome en 1267-1268, contemporaine des Questions sur l’âme, de la première partie de la Somme de théologie et de la Paraphrase du livre De l’âme, son premier commentaire d’Aristote, la Question disputée sur les créatures spirituelles, l’une des œuvres majeures de Thomas d’Aquin, porte sur l’âme humaine et ces réalités immatérielles que sont les anges. L’auteur y développe l’essentiel de son anthropologie et de sa métaphysique des substances séparées.
Les onze articles de la Question proposent à la fois un discours général sur les substances intellectuelles, qui tiennent le premier rang dans l’échelle de la création, et des analyses considérant en propre leurs modes d’être et les divers types d’actualisation de leurs pouvoirs. Comment l’âme humaine peut-elle être unie à un corps, par quel biais – s’il en est un –, et jusqu’où? Quelles sont ses puissances, et quels rapports entretiennent-elles avec son essence? Peut-on justifier l’existence de substances absolument séparées du corps? Si elles demeurent sans substrat, quelle est leur individualité et la nature de leur distinction? Que faire, enfin, du mouvement des cieux? Quel principe préside à leur déplacement? Dans ce texte-clé de la pensée scolastique, où Thomas progresse contre Platon et Averroès, c’est la cohérence et la perfection de l’univers créé qui se jouent.
Les onze articles de la Question proposent à la fois un discours général sur les substances intellectuelles, qui tiennent le premier rang dans l’échelle de la création, et des analyses considérant en propre leurs modes d’être et les divers types d’actualisation de leurs pouvoirs. Comment l’âme humaine peut-elle être unie à un corps, par quel biais – s’il en est un –, et jusqu’où? Quelles sont ses puissances, et quels rapports entretiennent-elles avec son essence? Peut-on justifier l’existence de substances absolument séparées du corps? Si elles demeurent sans substrat, quelle est leur individualité et la nature de leur distinction? Que faire, enfin, du mouvement des cieux? Quel principe préside à leur déplacement? Dans ce texte-clé de la pensée scolastique, où Thomas progresse contre Platon et Averroès, c’est la cohérence et la perfection de l’univers créé qui se jouent.
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