- EAN13
- 9791040403661
- Éditeur
- Passés Composés
- Date de publication
- 20/03/2024
- Collection
- Hors collection Passés composés
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Un officier français dans la guerre de Sécession
Mémoires présentés par Vincent Bernard
Vincent Bernard, Régis De Trobriand
Passés Composés
Hors collection Passés composés
Autre version disponible
-
Papier - Passés Composés 24,00
«?Le lecteur peut donc me suivre en toute sécurité. Il vivra la vie des camps,
il assistera à l’organisation de l’armée du Potomac, à son apprentissage, à
ses débuts il la suivra dans ses marches et dans ses combats, au bivouac et
sur les champs de bataille?; il s’associera à ses travaux, à ses privations, à
ses succès et à ses revers. Il fera la guerre, en un mot, la vraie guerre avec
toutes ses réalités horribles ou glorieuses.?» Élu colonel, à la tête du 55e
régiment de milice de New York, à l’été 1861, brigadier-général en 1864, puis
major-général par brevet l’année suivante dans l’Union Army, le comte Régis de
Trobriand, à qui la carrière militaire avait échappé en Europe, est un témoin
d’exception de la guerre de Sécession. Exceptionnel, il l’est d’abord par son
origine aristocratique et bretonne, son identité franco-américaine?; ensuite,
par sa position militaire, à la tête de quelques centaines d’hommes d’abord,
milliers finalement, idéalement placé entre le haut commandement, la troupe et
le terrain?; de par la richesse de son parcours, enfin, au travers des
principales campagnes et de nombre de grandes batailles – Fair-Oaks,
Fredericksburg, Chancellorsville, Gettysburg, Appomattox… – qui émaillent la
guerre dans l’Est entre 1861 et 1865 et auxquelles il assiste et presque
toujours participe.
il assistera à l’organisation de l’armée du Potomac, à son apprentissage, à
ses débuts il la suivra dans ses marches et dans ses combats, au bivouac et
sur les champs de bataille?; il s’associera à ses travaux, à ses privations, à
ses succès et à ses revers. Il fera la guerre, en un mot, la vraie guerre avec
toutes ses réalités horribles ou glorieuses.?» Élu colonel, à la tête du 55e
régiment de milice de New York, à l’été 1861, brigadier-général en 1864, puis
major-général par brevet l’année suivante dans l’Union Army, le comte Régis de
Trobriand, à qui la carrière militaire avait échappé en Europe, est un témoin
d’exception de la guerre de Sécession. Exceptionnel, il l’est d’abord par son
origine aristocratique et bretonne, son identité franco-américaine?; ensuite,
par sa position militaire, à la tête de quelques centaines d’hommes d’abord,
milliers finalement, idéalement placé entre le haut commandement, la troupe et
le terrain?; de par la richesse de son parcours, enfin, au travers des
principales campagnes et de nombre de grandes batailles – Fair-Oaks,
Fredericksburg, Chancellorsville, Gettysburg, Appomattox… – qui émaillent la
guerre dans l’Est entre 1861 et 1865 et auxquelles il assiste et presque
toujours participe.
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